Je ne tiens ombrage de rien, sinon j'aurais mis les voiles du même nom
Et bien qu'on puisse penser le contraire, si j'emploie parfois la grossièreté (et Cambronne alors ? merde...
), j'évite de tomber dans le vulgaire systématique, sauf là bien entendu, volontairement
(j'aurais pu écrite Bite avec 2 "T" : pour rigoler y'a moins d'options, mais pour s'amarrer c'est plus pratique (ou alors...
). Reste le Fist que j'ai rallié au Sabodet, parce qu'avec un étendoir ça ne doit pas être pratique (Oh là-là...
). Cela dit le vulgaire, celui qui blesse, celui qui tue, c'est plus dans le monde du travail ou dans la politique qu'on le côtoie. Il est fait de petites phrases assassines parées de mot choisis, il ponctue de sourires fourbes des décisions immondes prises dans les salons feutrés. Il est l'illustration de choix arbitraires où l'humain n'a pas sa place et où le cynisme est la règle de fonctionnement. Le "
Ces gens qui ne sont rien" par exemple, est à mes yeux bien plus vulgaire que l'évocation d'un trou quel qu'il fut (pas terrible celle-là
).
Quant à l'état de mon cerveau (c'est peut-être vrai après tout, déjà que je perds de plus en plus la mémoire...
), si l'idée n'était pas d'être blessant, alors soit ! J'en ai pas fait une maladie
De toutes façons et à des degrés divers, à partir du moment où on ne fait pas tout comme tout le monde (collectionner des camions militaires ou de Pompiers est certainement la partie visible d'une pathologie... [alors les 2 n'en parlons même pas !
]), on ne peut s'absoudre de penser que c'est une certaine folie qui nous réuni malgré nos différences. Et pour le coup :
c'est tant mieux !!!!! @ Mr P4 : probablement